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Jumper, réalisé par Doug Liman, raconte l'histoire de David Rice, un jeune homme qui se croyait tout à fait normal, mais qui, vous vous en doutez (sinon on aurait pas fait un film sur lui
) ne l'est pas du tout!
En effet, il a la capacité de se téléporter où il veut, quand il veut.
Pendant longtemps il pense être le seul. Mais non.
Et non seulement il n'est pas seul, mais en plus il a des ennemis. Des fanatiques prêts à tout pour éradiquer ces "erreurs de la nature" qui défient dieu en ayant la capacité d'être partout en un instant.
Bon vous vous en doutez, c'est pas le film du siècle, mais c'est un chouette divertissement... Les acteurs jouent bien, sauf la copine du héro qui fait un peu cruche tout le temps mais bon...
L'histoire se tient plus ou moins, et même si je me suis demandée si le
scénariste n'avait pas déserté après avoir écrit le pitch du film,
c'est quand même sympa à regarder! 
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Il m'a fallu du temps pour voir ce film! Je l'avais raté lors de son passage au cinéma, et du coup après, le temps de le trouver en dvd, de trouver le temps de regarder... Enfin le mal est réparé, j'ai vu cette petite perle.
Car c'est bien une petite perle.
On y suit l'histoire de Marjane, une petite fille de 8 ans qui va vivre l'évolution de son pays au quotidien, et voir Téhéran passer de l'état de ville culturelle et libre à celui ou l'irrespect règne (surtout pour le femmes) où tout est épié par tout le monde et où les policiers font plus que du zèle...
Les gens se font arrêter, et les parents de Marjane commencent à s'inquiéter pour elle, étant donné qu'elle a la langue bien pendue, des idées bien trempées et le tempérament qui va avec!
Ils décident donc de l'envoyer en Autriche, où elle va connaître de nouveaux sentiments, l'éveil à l'amour, l'amitié, mais aussi l'isolement, la solitude et la différence.
Aux travers de ses yeux on voit donc l'Iran sombrer petit à petit dans une dictature à forte consonance religieuse.. C'est traité avec de l'humour et beaucoup d'ouverture d'esprit. J'ai appris beaucoup de choses en regardant ce film. Aussi ne puis-je que vous inviter à en faire autant, si, comme moi, vous ne l'avez toujours pas vu!
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Il est de notoriété publique que les seules vraies crêperies bretonnes sont en Bretagne. Il est aussi de notoriété publique qu'il n'est pas aisé de trouver une excellente crêperie bretonne, même en Bretagne, dans les endroits touristiques...
Alors sachez, mesdames, mesdemoiselles et messieurs, que si vous passez sur la presqu'île guérandaise (departement 44..), vous devez absolument vous arrêter à la crêperie "La Bigouden", située à Herbignac.
Une petite crêperie chaleureuse sans prétention, mais au service agréable et la cuisine délicieuse! Tout y est simple, mais succulent. De quoi réellement bien manger, apprécier la galette de sarrasin à sa juste valeur, le tout sans se ruiner!
Vous trouverez leur site internet (avec leur carte et leurs jours et horaires d'ouverture) en cliquant ici!
Pour les amateurs de bons desserts, je ne saurais que trop vous conseiller de prendre "L'assiette gourmande"!
A bon entendeur
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Avec beaucoup de retard j'ai enfin vu ce film... Que j'ai beaucoup aimé.
Je n'aurais pas grand chose à dire dessus, parce que c'est plus contemplatif qu'autre chose.. Alors dans ces cas là, on aime le genre ou pas.
Le film raconte l'histoire du peintre Vermeer, et pour l'illustrer ils ont fait le choix de travailler chaque plan comme un tableau. La recherche est très poussée sur les lumières, le positionnement des acteurs, les ombres, les couleurs... C'est magnifique à tout point de vue.
La lenteur même de certains plans, avec des gestes ralentis, des regards appuyés et des dialogues silencieux, donnent encore plus la sensation d'être nous même dans un des tableaux du peintre, ou d'en regarder un prendre vie.
Il est donc assez long et lent, mais bizarrement à la fin j'ai été surprise. Je ne pensais pas du tout que ça se terminait là, et j'en attendais -espérais- plus long encore. J'en suis presque restée sur ma faim tellement j'étais plongée dedans..!
Une belle expérience.
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Avis aux amateurs de polars noirs et de dessins magnifiques traités à l'aquarelle, cette BD est pour vous!
Le dessinateur et coloriste J. Guardino, traite ses personnages avec beaucoup de soin, et réussit à apporter un visage tout à fait humain à ces créatures anthropomorphes. Car oui, les personnages de Blacksad sont des animaux. Vêtus et vivants comme des humains. En fait ils nous remplacent totalement dans la société.
Parmi eux, il y a John Blacksad, un chat noir détective privé qui s'occupe de sordides affaires. Il est l'archetype des détectives du New York des années 50 (période où se situe l'histoire) avec son imper, son penchant pour l'alcool dans ses heures perdues à regretter son seul et unique amour, son penchant léger pour la violence aussi quand la situation l'exige, son humour, son état désabusé permanent... Mais il faut tout cela avec classe et surtout avec beaucoup d'intégrité et de charisme.
La série compote 3 tomes, j'attends les suivants avec plus que de l'impatience, parce que non seulement les dessins sont bluffants, mais en plus les histoires sont excellentes. Moi qui ne suis pas fana des polars, je me régale à lire ceux là! Le suspens est bien géré, le rythme ne diminue jamais, et on est tenu en haleine du début à la fin.
Une de mes BD favorites à n'en pas douter!!
Et voici quelques images :
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